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Kidnapping et rançon, scénario improbable ?

Avant lorsque l’on évoquait les mots « kidnapping » et « rançon » cela relevait davantage de l’anecdote, accentué par les détails dignes des meilleurs films de western souvent distillés pour étayer les propos. Mais ça, c’était avant. Avant que le contexte ne change, que le monde ne se globalise et que l’accès à l’information soit mondial, disponible partout et en tout temps. Désormais, la géolocalisation de tout un chacun est possible, tout comme les transactions financières, les ressources etc. Le « Big Brother is watching you » d’Orwell n’est plus une chimère, mais une réalité. Alors, faut-il toutes et tous se protéger ? Comment évaluer son propre niveau de risque ? Quels garde-fous mettre en place ?

Petit tour d’horizon contextuel et solutions possibles.

Employés séquestrés, fillette enlevée, journalistes gardés en captivité puis exécutés, CEO libéré après versement d’une importante somme d’argent … les scénarios de kidnapping et rançon ne manquent pas depuis quelques années. Et même si – dans la majorité des cas – cela se finit heureusement plutôt bien, il n’en demeure pas moins que le préjudice moral et financier est bel et bien présent. Car s’il faut d’une part tenir compte des coût d’un enlèvement (comprenant les dépenses pour la rançon, les négociations, les voyages, les exigences d’indemnité dans le cas où la victime porterait plainte contre son employeur), il ne faut pas oublier dans la balance les coûts de traitements médicaux. Et tout cela peut très vite se chiffrer à des milliers, centaines de milliers, voire millions de francs.

 

Face à un contexte différent d’il y a quelques années, qui peut aujourd’hui être une cible potentielle ? Aux potentielles victimes « connues » que sont les CEO et personnalités publiques et politiques, le spectre s’élargit. Il n’est donc pas étonnant de voir que parmi les acheteurs de telles polices d’assurance figurent aujourd’hui de grandes entreprises actives dans l’énergie et les mines avec leurs employés travaillant dans des régions instables et très éloignées. Autre exemple avec la mise en place d’une directive européenne rendant public le registre des actionnaires importants, avec la possibilité désormais pour n’importe qui de connaître les noms et prénoms des actionnaires détenant ou contrôlant plus de 25% du capital ou des voix d’une entité donnée. Nul besoin d’aller plus avant pour comprendre qu’en ayant plus le couvert de l’anonymat ces personnes deviennent des cibles potentielles.

 

Aujourd’hui, le marché mondial de l’assurance contre le kidnapping pèserait près de 1.5 milliards de dollars, « drivé » notamment par les entreprises chinoises de plus en plus présentes dans des pays à risque et qui souhaitent protéger leurs salariés dirigeants expatriés, mais pas que. Avec la diffusion de l’information, les nouvelles technologies faisant de la géolocalisation un jeu d’enfant, de plus en plus de citoyens « lambda » pensent à s’assurer contre ce risque spécial au scénario finalement plus si improbable. C’est pourquoi chez PSPI, aux côtés des autres risques spéciaux que nous assurons, nous intégrons le kidnapping et la rançon (K&R) dans notre pack d’offre. Pour cela, nous offrons bien plus que le règlement de rançons ; nous assurons toutes les pertes liées à l’enlèvement : transit, frais juridiques, accidents corporels, frais supplémentaires, les frais et les dépenses liés à la maîtrise des risques. Nous travaillons avec des partenaires expérimentés et réputés dans la gestion de ces risques. Grâce à ce partenariat, nous sommes en mesure de négocier et de garantir la libération de la victime de l’enlèvement.

 

Et vous, y avez-vous déjà songé ?

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