ART

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Héloïse, notre spécialiste Fine Art, nous raconte « son » artgenève.

Fin janvier, Palexpo a opéré sa mue, l’une des premières de l’année. En cause ? Artgenève. Habituée des lieux, Héloïse nous raconte.
Fin du mois de janvier. Palexpo a opéré sa mue, l’une des premières de l’année. Pour cette 12ème édition d’artgenève, le lieu est comme quadrillé de dizaines de petites boîtes, chacune offrant une immersion dans l’une des 80 galeries venues présenter des œuvres d’art contemporain et d’art moderne. Les aficionados de l’événement y retrouvent les codes des éditions précédentes. Mais cette année, artgenève a aussi décidé de suprendre, avec succès. Héloïse Decrocq-Mosnier, experte Fine Art chez PSPI, nous explique.

 

Vous êtes une habituée d’artgenève. Pourquoi tout d’abord est-ce important d’ « y être » ?

 

En effet, cela fait la 4ème édition à laquelle je participe en tant que spectatrice, et PSPI a encore plus d’historique car Fanny la fondatrice y allait avant mon arrivée, avant que le département Fine Art au sein de PSPI ne soit aussi important. Artgenève est incontestablement l’une de ces grand-messes où l’on retrouve certains de nos clients collectionneurs, mais aussi des partenaires et des prospects.

 

En tant que spécialiste Fine Art, déambuler au milieu de centaines d’œuvres issues de ces courants d’art contemporain et d’art moderne me permet de rester alerte sur les nouvelles influences et de connaitre les œuvres que les galeristes genevois proposent en ce moment. Je peux ainsi conseiller nos clients collectionneurs, connaitre la cote de certains artistes, conseiller sur les tendances.

 

Que retenez-vous de cette édition ?

Au-delà des œuvres présentées, j’ai trouvé la performance de l’OSR en hologramme absolument incroyable ! C’est extrêmement ambitieux car c’était la première fois qu’un orchestre entier était retranscrit sous cette forme. C’est totalement dans l’ère du temps car cela va non seulement dans le sens de l’accessibilité de la culture, mais est aussi un moyen de ne pas avoir à déplacer tout un orchestre, et peut donc ainsi faire baisser le bilan carbone de certaines représentations.

 

On avait vraiment l’impression que les musiciens étaient là, en chair et en os, or ils n’étaient en réalité que des apparitions, des images. Imaginez une harpe avec un son comme si le musicien était en face de vous, mais qui a été en réalité enregistrée au préalable et retranscrit sous forme virtuelle en offrant exactement la même prestation. C’était époustouflant.

 

La culture comme forme d’art alors ?

Je crois que cette prestation de l’OSR nous montre en effet cela ! Et la technologie permet ici de décloisonner la culture, de l’ouvrir et de la démocratiser. Cela me parait essentiel.

 

(Photo by MF Evelyn )

 

 

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